Une veille d’élection pas comme les autres

Samedi 22 mars 10h00, dernier jour de campagne : nous ouvrons la permanence pour nous retrouver entre  colistiers pour un dernier point mais aussi pour ranger quelques documents.

Quelque temps plus tard, nous avons  la surprise d’avoir la visite de la gendarmerie. 

Prise de photographies de la devanture, demande d’identités ;  les gendarmes nous demandent de fermer la permanence et nous indiquent qu’une information sera remontée à la préfecture.

 Respectueux du droit et de la force publique, nous fermons la grille.

Mais quand même !!!!  

Renseignements pris nous sommes persuadés que nous étions autorisés à ouvrir notre permanence même en cette veille d'élection.

Vers 14h15, la gendarmerie reprend contact avec nous pour nous informer que nous étions dans notre droit d'ouvrir la permanence, mais aussi pour s’excuser de l’intervention du matin dont l'origine est un appel téléphonique de madame le maire, Colette Suzanne, dénonçant l'ouverture de notre permanence.

Nous ne pouvons que regretter que la force publique se soit déplacée pour rien alors que (peut être) d’autres citoyens avaient besoin de leur intervention à ce moment précis.

C’était une veille d’élection pas comme les autres…..